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12. avril 2021La Sievert Logistik SE oriente de plus en plus son site de Stockstadt vers la fourniture de services à valeur ajoutée, appelés Value Added Services (VAS). Avec cette offre, le spécialiste de la logistique souhaite également s’adresser aux start-ups. Une nouvelle ligne de préparation des commandes a déjà été mise en service à cet effet l’année dernière. De plus, la surface de stockage a été étendue de 1 600 mètres carrés.
(Stockstadt/Lengerich) À Stockstadt, l’informatique doit maintenant être développée de manière à pouvoir être rapidement et facilement connectée à différents systèmes de boutique et d’expédition. « En plus des entreprises industrielles et commerciales établies, les jeunes entreprises en pleine croissance constituent également un groupe cible intéressant pour nous. Car souvent, elles manquent de compétences logistiques. Nous voulons combler cette lacune avec nos services complets », déclare Rui Macedo, directeur général de Sievert Logistik SE. Le site Sievert à Stockstadt est particulièrement adapté à cela, car des VAS étendus y ont déjà été fournis par le passé.
Le champ d’application s’étend de la préparation des commandes et de la confection à l’étiquetage et à la gestion des retours, en passant par l’emballage et les contrôles de qualité. Markus Heßler, responsable régional de Sievert, est en charge du site et rapporte : « Pour un grand fabricant d’outils de jardin et de matériel, nous effectuons actuellement même des travaux de suivi et de réparation. » Le contrat existant a été récemment prolongé avec un volume presque doublé. Il comprend désormais le traitement d’environ 600 livraisons de conteneurs par an. Pour chaque conteneur, 40 à 50 palettes doivent d’abord être déchargées et stockées. Ensuite, les marchandises sont préparées, emballées et finalement expédiées conformément aux spécifications du client. « De plus, nous effectuons, à la demande du client, des travaux de reconditionnement, comme par exemple l’ajout de manuels d’utilisation à des envois individuels ou l’apposition d’autocollants », explique Heßler.
Manque de savoir-faire logistique
C’est précisément ici que de nombreuses start-ups échouent. Il ne s’agit pas seulement d’un manque d’espace de stockage et d’équipement, mais surtout d’un manque de savoir-faire logistique. Le problème : à un moment donné, les volumes deviennent trop importants pour que les jeunes entreprises puissent les traiter elles-mêmes dans leur garage, mais encore trop petits pour intéresser un logisticien. « C’est pourquoi nous travaillons sur des concepts qui permettent de regrouper plusieurs start-ups afin de générer un volume qui nous permette une préparation des commandes efficace », déclare Heßler. Cela inclut notamment le développement de l’informatique. L’objectif est de créer les conditions techniques nécessaires pour pouvoir rapidement et facilement connecter les systèmes de boutique et d’expédition courants à l’avenir.
Actuellement, Sievert Logistik gère à Stockstadt, avec environ 30 employés, une surface de stockage couverte de 12 000 mètres carrés avec 10 000 emplacements de palettes.
Photo : © Sievert




